• Jérôme Laugt

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L’ostéopathie est une méthode de soins qui s’emploie à déterminer et à traiter les restrictions de mobilité qui peuvent affecter l’ensemble des structures composant le corps humain.
Toute perte de mobilité des articulations, des muscles, des ligaments ou des viscères peut provoquer un déséquilibre de l’état de santé. L’ostéopathie est fondée sur la capacité du corps à s’autoéquilibrer et sur une connaissance approfondie de l’anatomie.

Découvrez une interview réalisée par l’UCIA :

L’ostéopathie à tout âge de la vie :
L’ostéopathie choisit la technique la mieux adaptée et la plus confortable pour chaque patient, en fonction de son âge et de sa morphologie et de la zone du corps à corriger. Il peut traiter le nourrisson, l’enfant, l’adulte comme la personne âgée.

Un traitement de la tête aux pieds :
L’ostéopathie intéresse tous les grands systèmes du corps :

  • le système orthopédique et locomoteur : entorses, tendinites, lombalgies, dorsalgies, costalgies, cervicalgies, périarthrites de l’épaule, douleurs articulaires, scolioses, pubalgies, douleurs coccygiennes, douleurs maxillaires…
  • le système neurologique : névralgies cervico-brachiales, intercostales, faciales, d’Arnold, cruralgies, sciatiques…
  • le système cardio-vasculaire : troubles circulatoires des membres inférieurs, congestion veineuse, hémorroïdes, palpitations, oppressions…
  • le système digestif : ballonnements, hernie hiatale, flatulences, troubles hépatobiliaires, colites, constipation, ptôse d’organes, digestion difficile, gastrites, acidité gastrique…
  • le système O.R.L. et pulmonaire : rhinites, sinusites, vertiges, bourdonnements, céphalées, migraines, bronchites, asthme, bronchiolites…
  • le système neuro-végétatif : états dépressifs, hypernervosité, anxiété, stress, troubles du sommeil, spasmophilie.
  • les séquelles de traumatismes : fractures, entorses, chutes, accidents de voiture…

Ostéopathie et nourrisson :
L’accouchement peut être le premier des traumatismes pour le bébé. Trop long ou trop court, il peut perturber le fonctionnement normal des structures crâniennes et en perturber le développement. Difficile, il nécessite parfois l’emploi de spatules, ventouses ou forceps, qui vont influer sur la mobilité des jonctions des os du crâne et occasionner des troubles fonctionnels immédiats ou ultérieurs.

Quand consulter ?

  • lorsque l’accouchement s’est effectué sous péridurale
  • quand le travail a été trop long (plus de 8 heures) ou trop court (moins de 2 heures)
  • en cas de grossesse gémellaire
  • si la présentation s’est faite par le siège, par la face ou par le front
  • après une forte traction sur la tête
  • quand le cordon s’est enroulé autour du cou
  • dans les cas de prématurité (le crâne est plus fragile)
  • si l’expulsion a nécessité une forte pression sur l’abdomen maternel
  • après l’emploi de forceps, ventouse ou spatule
  • en cas de césarienne
  • en cas de souffrance foetale, de réanimation même légère du bébé.

Ostéopathie et enfant :
A l’âge de l’apprentissage de la marche, des chutes, même anodines, peuvent provoquer différents troubles :

  • sommeil perturbé,
  • affections O.R.L.,
  • excitation, colère, énervement,
  • digestion perturbée, constipation,
  • déviation de la colonne vertébrale,
  • mauvaise statique, désordre postural…

L’ostéopathie est une thérapie de choix pour corriger les séquelles des traumatismes.

Ostéopathie et orthodontie :
A l’heure actuelle, on pose de plus en plus d’appareils dentaires et de nombreux orthodontistes travaillent en collaboration avec les ostéopathes pour la réussite du traitement et pour le confort de l’enfant. L’appareil orthodontique prend appui sur les structures du crâne pour faire levier sur la mâchoire et les dents.
Ces contraintes peuvent provoquer :

  • maux de tête, maux de dos,
  • vertiges,
  • troubles visuels,
  • difficulté de concentration,
  • modification de l’humeur.

Un suivi ostéopathique régulier au cours des soins dentaires est nécessaire pour pallier à ces maux, contrôler et guider les réactions du crâne et du corps.

 

Ostéopathie et mal de dos :
Le « mal de dos » (lombalgie, dorsalgie, cervicalgie) est le cheval de bataille de nombreuses spécialités médicales ou paramédicales :

  • rhumatologues,
  • vertébrothérapeutes,
  • kinésithérapeutes.

L’approche thérapeutique de ces affections par l’ostéopathie est différente par le concept et spécifique par les techniques utilisées.

Différente, car l’ostéopathie considère dans la majorité des cas ce symptôme comme la conséquence d’une suite adaptative plus ou moins complexe. par exemple, une douleur dorsale peut être liée à des maux d’estomac ou à un dysfonctionnement de la vésicule biliaire.
Spécifique, car l’ostéopathie utilise une gamme d’outils thérapeutiques allant de la manipulation vertébrale aux techniques viscérales et crâniennes.

Ostéopathie et sport :
L’ostéopathie améliore vos performances :

  • par son action spécifique sur l’ensemble du corps, l’ostéopathie saura reconnaître et traitera les véritables causes des douleurs limitant la pratique de l’activité sportive,
  • par son efficacité, il améliore le potentiel et la puissance musculaire, la souplesse articulaire et la capacité respiratoire.

Le traitement ostéopathique permet également une meilleure concentration avant l’épreuve et une récupération optimale après l’effort.

Quand consulter ?

A titre préventif :

  • pour établir un bilan, pour préparer une épreuve.

A titre curatif :

  • pour rééquilibrer de façon très précise les axes articulaires qui ont été perturbés par un choc,
  • après fractures, entorses, opérations chirurgicales pour aider à une bonne cicatrisation,
  • pour effacer les traumatismes, même anciens.

Mais aussi, en cas de :

  • chutes sans traumatismes osseux ni lésions visibles sur une radio,
  • douleurs articulaires diverses,
  • tendinites : tennis elbow, talalgies, pubalgies, périarthrites, épicondylites…
  • essoufflement à l’effort, « point de côté »,
  • sciatiques, cruralgies, cervicalgies, dorsalgies, lombalgies,
  • maux de tête, troubles de l’équilibre, vertiges,
  • mauvaise récupération entre les épreuves,
  • stress, manque de concentration, troubles du sommeil.Ostéopathie et mal de dos :
    Le « mal de dos » (lombalgie, dorsalgie, cervicalgie) est le cheval de bataille de nombreuses spécialités médicales ou paramédicales :

    • rhumatologues,
    • vertébrothérapeutes,
    • kinésithérapeutes.

    L’approche thérapeutique de ces affections par l’ostéopathie est différente par le concept et spécifique par les techniques utilisées.

    Différente, car l’ostéopathie considère dans la majorité des cas ce symptôme comme la conséquence d’une suite adaptative plus ou moins complexe. par exemple, une douleur dorsale peut être liée à des maux d’estomac ou à un dysfonctionnement de la vésicule biliaire.
    Spécifique, car l’ostéopathie utilise une gamme d’outils thérapeutiques allant de la manipulation vertébrale aux techniques viscérales et crâniennes.

    Ostéopathie et sport :
    L’ostéopathie améliore vos performances :

    • par son action spécifique sur l’ensemble du corps, l’ostéopathie saura reconnaître et traitera les véritables causes des douleurs limitant la pratique de l’activité sportive,
    • par son efficacité, il améliore le potentiel et la puissance musculaire, la souplesse articulaire et la capacité respiratoire.

    Le traitement ostéopathique permet également une meilleure concentration avant l’épreuve et une récupération optimale après l’effort.

    Quand consulter ?
    A titre préventif :

    • pour établir un bilan, pour préparer une épreuve.

    A titre curatif :

    • pour rééquilibrer de façon très précise les axes articulaires qui ont été perturbés par un choc,
    • après fractures, entorses, opérations chirurgicales pour aider à une bonne cicatrisation,
    • pour effacer les traumatismes, même anciens.

    Mais aussi, en cas de :

    • chutes sans traumatismes osseux ni lésions visibles sur une radio,
    • douleurs articulaires diverses,
    • tendinites : tennis elbow, talalgies, pubalgies, périarthrites, épicondylites…
    • essoufflement à l’effort, « point de côté »,
    • sciatiques, cruralgies, cervicalgies, dorsalgies, lombalgies,
    • maux de tête, troubles de l’équilibre, vertiges,
    • mauvaise récupération entre les épreuves,
    • stress, manque de concentration, troubles du sommeil.